Des drones canadiens survolent les féminines néo-zélandaises ?

C’est dans la ville lumière qu’en ce moment même les Jeux Olympiques 2024 se déroulent, mais une récente observation a prouvé qu’ils accueillaient aussi des drones canadiens un tantinet trop curieux…

Les épreuves olympiques ont d’ores et déjà commencé à ouvrir les hostilités, et dans la catégorie football nos Bleus font un démarrage bien sympathique, en revanche chez les féminines, la chronique des faits divers n’a cessé de se remplir. Comme on peut s’en douter, l’objectif de chacun et de chacune est de remporter l’or, ou au moins un podium, pour pouvoir avoir l’impression d’avoir ses efforts gratifiés d’une récompense. Et si certains redoublent de travail, d’autres peuvent considérer que tous les moyens sont bons pour parvenir à leurs buts.

Dopage, coups bas, ou tricherie, les procédés sont nombreux pour y arriver, et visiblement le Canada a décidé de miser sur l’espionnage. Avant le lancement des premières rencontres aux J.O catégorie football féminin, des drones pilotés par l’équipe technique canadienne se sont fait repérés lors des entraînement de la sélection All Black. Il n’a pas fallu longtemps pour remonter à la source, d’autant plus que Gabriel Attal avait annoncé la mise en place d’un dispositif renforcé pour intercepter les drones, mettant en avant qu’ils en attrapaient en moyenne 6 par jour, justifiant ces actes par la volonté des gens d’obtenir des photos exclusifs de la préparation des athlètes.

De lourdes sanctions pour les canadiennes

En ce qui concerne les instances canadiennes, le COC (Comité Olympique Canadien) a annoncé être choqué et déçu de la tentative de tricherie, et qu’ils présentaient leurs plus sincères excuses à la fédération néo-zélandaise.

A voir si cette tricherie s’est avérée utile dans la préparation canadienne, les joueuses ayant remporté leur rencontre deux buts à un pourront se vanter d’entamer la compétition de bon augure, le minimum pour tenter de camoufler ce premier scandale olympique. En ce qui concerne les sanctions, nos Bleues qui seront adversaires du Canada profitent d’une pénalité de 6 points envers les Canucks. La sélectionneuse Beverly Priestman ainsi que deux membres du staff canadien sont aussi suspendus d’un an de toutes activités liées au football. Comme bien souvent, le crime ne paye pas aux Jeux Olympiques…

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