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F.C. Como Women et Mercury/13 : Comment ils réinventent le foot féminin (et accessoirement, le monde)

Parce qu’il fallait bien que quelqu’un se lance, F.C. Como Women et le groupe d’investissement Mercury/13 sont en train de réécrire les règles du football féminin. Et pas qu’un peu. Avec un partenariat sponsorisé par WeAre8, une plateforme sociale qui se prend pour le Robin des Bois des réseaux sociaux, ils sont en train de montrer que le foot féminin, c’est bien plus qu’un simple match : c’est une révolution.

Alors, accrochez-vous à vos écharpes, parce que ça va secouer.


Un samedi glacial à Como : du foot, des maillots et une révolution

Imaginez : un samedi de janvier, il fait un froid à ne pas mettre un chien dehors (ou même un gardien de but). Pourtant, sur les terrains d’entraînement de F.C. Como Women, à deux pas de la magnifique ville de Como (oui, celle avec le lac et les villas de rêve), quelque chose d’historique se prépare.

Le club a organisé un match amical contre l’Olympique de Marseille (oui, l’OM, mais la version féminine, donc un peu moins de cris et un peu plus de tactique). Et ce n’était pas qu’un simple match : c’était le lancement officiel du nouveau maillot sponsorisé par WeAre8, une plateforme sociale qui promet de changer la donne.

Zoe Kalar, la CEO de WeAre8, résume bien l’ambiance : « Le changement ne peut venir que du football féminin. » Bon, OK, Zoe, on te laisse le micro, mais juste parce que t’as raison.


WeAre8 : TikTok et Instagram ont eu un bébé éthique

WeAre8, c’est un peu le réseau social dont tout le monde rêve : un mélange entre TikTok, Instagram et Twitter, mais avec une conscience morale. Pas d’algorithmes toxiques, pas de contenus haineux, et surtout, de l’argent qui va directement dans les poches des créateurs de contenu. En gros, c’est l’anti-Meta.

Et devinez quoi ? WeAre8 va aussi permettre aux joueuses de F.C. Como Women de générer des revenus grâce à des publicités engagées. Parce que oui, les femmes méritent d’être payées, même dans le foot.


Mercury/13 : les super-héros du foot féminin

Derrière F.C. Como Women, il y a Mercury/13, un groupe d’investissement qui a décidé de mettre 100 millions de dollars sur la table pour transformer le football féminin en Europe et en Amérique latine. Leur premier coup ? Acquérir F.C. Como Women. Leur prochain ? Un club en Espagne, puis en Angleterre.

Leur credo ? « On va réinventer le foot pour les femmes, par les femmes. » Et ça, c’est une sacrée bonne nouvelle, parce que jusqu’ici, le foot féminin, c’était un peu le parent pauvre du ballon rond.


Nike, Chiellini et les autres : le rêve devient réalité

En août dernier, F.C. Como Women a signé un partenariat historique avec Nike. Oui, Nike. Le géant du sportswear a enfin décidé que les femmes méritaient aussi des maillots stylés. Et ce n’est pas tout : Giorgio Chiellini, la légende italienne, a investi dans Mercury/13. Parce que même les dieux du stade reconnaissent que le foot féminin, c’est l’avenir.


Un format de diffusion innovant : parce que les femmes méritent mieux

Pendant le match contre l’OM, DAZN a testé un nouveau format de diffusion, spécialement conçu pour les spectatrices. Moins de commentaires techniques, plus d’histoires sur les joueuses et d’interviews décontractées. Un peu comme un podcast, mais avec des buts et des dribbles.

Victoire Cogevina Reynal, co-fondatrice de Mercury/13, a même joué les commentatrices. Et le public a adoré. « Je ne connais pas encore son nom, mais qu’elle commente tous les matchs, s’il vous plaît ! », a écrit un fan sur Instagram.

FC Como Marseille

Le foot féminin : un mouvement, pas juste un sport

Ce qui se passe à F.C. Como Women, c’est bien plus qu’une histoire de foot. C’est un mouvement pour l’égalité, pour la reconnaissance, et pour un avenir où les femmes auront enfin leur place.

Comme le dit si bien Reynal : « Le foot féminin n’attend personne. Nous sommes à un moment où tout converge : le sport féminin est devenu un mouvement pour l’égalité des sexes, et ce sera probablement le plus puissant de notre génération. »


Et les hommes du FC Como dans tout ça ?

Zoe Kalar a une réponse cinglante : « J’adore le foot masculin, mais le changement ne peut venir que du foot féminin. Le foot masculin, c’est un autre monde. Il y a trop d’argent en jeu pour que quoi que ce soit change. »

Ouch. Mais bon, elle n’a pas tort.

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