Ce soir, le 31 mai 2025, le PSG entre dans l’Allianz Arena de Munich pour défier l’Inter Milan en finale de la Ligue des Champions, avec l’espoir de décrocher son premier sacre européen. Les supporters parisiens, chauffés à blanc, n’ont qu’une date en tête : 1993. Cette année-là, l’Olympique de Marseille devenait le premier club français à soulever la Coupe aux grandes oreilles, à Munich, face à l’AC Milan. Sur les réseaux sociaux et dans les discussions enflammées, les parallèles entre ces deux finales s’accumulent, et les raisons d’y croire pour Paris s’amoncellent. Alors, sortez vos écharpes, on plonge dans ces similitudes qui donnent des frissons !
Munich, le théâtre des rêves français
Commençons par le décor : Munich. En 1993, l’OM triomphe dans le Stade Olympique face à l’AC Milan. En 2025, le PSG joue à l’Allianz Arena, à quelques kilomètres de là, contre l’Inter Milan, voisin et rival historique des Rossoneri. « Munich, c’est notre talisman ! » s’enflamme un supporter sur X. Les stats le confirment : Munich a souvent couronné des vainqueurs inattendus ou inédits (Nottingham Forest 1979, OM 1993, Chelsea 2012). Et si l’histoire bégayait pour offrir au PSG son moment de gloire ? Les supporters y croient dur comme fer : « 1993, OM bat Milan à Munich. 2025, PSG face à l’Inter… même ville, même destin ? »
Un entraîneur étranger pour une épopée européenne
En 1993, l’OM est mené par Raymond Goethals, un Belge au charisme légendaire, surnommé « le sorcier » pour ses coups tactiques. En 2025, le PSG s’appuie sur Luis Enrique, l’Espagnol au style flamboyant, qui a transformé une équipe orpheline de stars en rouleau compresseur collectif. « Goethals en 93, Luis Enrique en 25 : deux coachs étrangers qui parlent fort et jouent l’attaque ». Les deux entraîneurs partagent cette audace tactique, capable de déstabiliser des mastodontes comme l’AC Milan ou l’Inter. Luis Enrique, avec son 4-3-3 ultra-offensif et ses ajustements malins (comme contre Arsenal en demie), rappelle le culot de Goethals, qui avait muselé les stars milanaises avec un pressing étouffant.
Perdre une star, gagner une âme
Voici une similitude qui fait jaser : en 1992, l’OM perd Jean-Pierre Papin, son buteur star, parti à l’AC Milan. Malgré ce coup dur, les Marseillais se réinventent autour d’un collectif porté par Deschamps, Desailly et Boli. En 2024, le PSG voit Kylian Mbappé, son joyau, quitter le navire. Pourtant, sous la houlette de Luis Enrique, Paris renaît avec une équipe jeune et soudée, emmenée par des pépites comme Barcola, Zaïre-Emery et Doué. « On a perdu Mbappé, comme l’OM a perdu Papin. Et si c’était le déclic pour tout gagner ? » s’interroge les twittos sur X. En 1993, l’OM a prouvé qu’un collectif affamé pouvait renverser des montagnes. En 2025, le PSG semble suivre le même chemin, avec un groupe qui joue pour l’histoire, pas pour les ego.
Un adversaire italien, un duel fratricide
En 1993, l’OM défie l’AC Milan, monstre sacré du football européen. En 2025, le PSG affronte l’Inter Milan, l’autre géant de la ville lombarde. Ce parallèle fait vibrer les supporters : « Milan 93, Inter 25, c’est comme un combat entre frères ennemis, et c’est toujours la France qui gagne à Munich ! » Les deux clubs milanais, à l’époque comme aujourd’hui, arrivent en favoris, bardés de stars (Van Basten et Baggio en 93, Lautaro Martinez et Thuram en 25). Mais l’OM avait su exploiter les failles d’un Milan trop sûr de lui. Aujourd’hui, l’Inter, usée par une fin de saison compliquée (trois défaites sur ses cinq derniers matchs), pourrait bien vaciller face à la fougue parisienne.
L’année du changement de format
En 1993, la Ligue des champions venait d’adopter un nouveau format. Cette saison encore, la compétition a évolué, modifiant la donne pour tous les prétendants au titre
Un gardien mutant pour tenir la baraque
En 1993, Fabien Barthez, alors jeune gardien de l’OM, avait ébloui l’Europe avec ses réflexes et son assurance face aux assauts milanais. En 2025, Gianluigi Donnarumma, colosse italien du PSG, est l’héritier spirituel de « Barthez le Divin ». Avec ses arrêts décisifs contre Arsenal (trois parades en demi-finale) et Manchester City (quatre arrêts en quart), Donnarumma est le roc sur lequel Paris s’appuie. « Donnarumma, c’est Barthez avec 15 cm de plus et un accent italien ! » plaisante un fan sur X. Cette solidité dans les cages, c’est un point commun qui rassure : pour gagner une finale, il faut un gardien qui frôle l’inhumain.
Une France (presque) unie derrière son champion
En 1993, la France entière (ou presque) vibrait pour l’OM, malgré les rivalités. En 2025, le PSG bénéficie d’un élan national inattendu. Basile Boli, héros de 1993, a déclaré à franceinfo : « Je suis Marseillais, mais je veux voir un club français gagner. Allez Paris ! » Même Zinédine Zidane, légende phocéenne, a glissé un mot d’encouragement. Sur X, les messages de soutien affluent, de Lille à Nice, même si certains ultras marseillais grincent des dents : « Soutenir Paris ? Plutôt avaler une bouillabaisse froide ! ». Pourtant, cet élan tricolore, comme en 1993, donne des ailes au PSG. « La France veut une nouvelle étoile, et on va la décrocher ! »
Une finale sous haute tension médiatique
En 1993, l’OM jouait sous les yeux d’une France en transe, avec une pression médiatique énorme. En 2025, le PSG est au cœur d’un tourbillon similaire. Les réseaux sociaux amplifient l’engouement : #PSGARS et #UCL trustent les tendances sur X, avec des mèmes hilarants (Marquinhos en Basile Boli, Luis Enrique en chef d’orchestre) et des stats optimistes (41,9% de chances de victoire pour le PSG). En 1993, c’était TF1 et les journaux papier ; aujourd’hui, c’est X, TikTok et les lives Twitch qui mettent le feu. Mais l’essentiel reste : tout un pays retient son souffle.
Pourquoi Paris peut y croire ?
- Munich, terre promise : La ville a couronné l’OM en 93, et les stats montrent qu’elle aime les nouveaux venus.
- Le collectif avant tout : Comme l’OM sans Papin, le PSG sans Mbappé a trouvé une âme d’équipe.
- Un coach étranger audacieux : Luis Enrique, comme Goethals, peut faire basculer le match par un coup de génie tactique.
- Un gardien héroïque : Donnarumma, digne successeur de Barthez, est prêt à fermer la boutique.
- La France en soutien : Même les Marseillais (certains, du moins) rêvent d’un exploit tricolore.
Ce soir, à Munich, le PSG a l’occasion de marcher dans les pas de l’OM de 1993. Les similitudes sont là, comme des clins d’œil du destin. Alors, que les tambours résonnent, que les fumigènes s’allument, et que Paris fasse trembler l’Europe comme Marseille l’a fait il y a 32 ans. Allez Paris, ramène la Coupe à la maison, et qu’on chante jusqu’à l’aube sur les Champs-Élysées !